PETA soutient que la fourrure de phoque n’est pas nécessaire, car il existe des substituts synthétiques «FAUSSE FOURRURE» qui sont souvent dérivés d’une ressource non renouvelable (plastique). Des études récentes ont montré des micro-plastiques dans les océans, dans le système alimentaire et maintenant ingérés par les humains – résultats de tissus et fourrures synthétiques.
La fourrure de phoque est un matériau naturel et organique et, comme tous ces matériaux, se désintègrera et se dégradera rapidement à moins que des mesures préventives ne soient prises. Pour prolonger la durée de vie des vêtements en fourrure, les peaux de phoque subissent d’abord un processus de tannage spécial appelé «habillage». Ce processus protège les follicules pileux et le pelage, tout en préservant la peau, la rendant moins susceptible de se désagréger et donc plus durable.
Cependant, même ce processus de tannage ne peut empêcher entièrement la détérioration et les fourrures finiront par se dessécher et devenir cassantes. Mais lorsque le vêtement est bien entretenu, cela peut prendre plusieurs décennies.
Cependant, les fourrures finiront par se biodégrader comme n’importe quelle autre matière organique et pourront même être transformées en compost pour votre jardin. Par exemple, les recherches scientifiques actuelles ont montré qu’un carré de vison de 4″x4″ se décompose au même rythme qu’une feuille de chêne. Pour le démontrer, mais aussi pour comparer le taux de dégradation avec celui de la fausse fourrure fabriquée à partir de pétrole, Truth About Fur a mené l’expérience Great Fur Burial. Les résultats étaient clairs. Au bout d’un an, la vraie fourrure s’était presque entièrement biodégradée, tandis que la fausse fourrure restait intacte.